منتديات الشروحات | التقنية

قسنـــــــــــــــطينة Constantine Hayak_10

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    قسنـــــــــــــــطينة Constantine

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    Sticky قسنـــــــــــــــطينة Constantine

    مُساهمة من طرف ING_ADMIN الإثنين يناير 12, 2009 10:16 pm

    Constantine : Kasentina,

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    قسنطينة), aussi appelée la « ville des ponts suspendus » ou bien «
    ville des aigles », est une ville du nord-est de l'Algérie, peuplée de plus de 540 000 habitants (1 000 000 agglomération). Importante ville Numide, puis romaine, elle a été détruite en 311 par Maxence et Domitius Alexander. Elle fut reconstruite peu après par Constantin qui lui a laissé son nom.
    Ville du malouf, et des oulémas (les savants), chef-lieu de la wilaya du même nom, elle est la capitale de l'est du pays et la troisième ville en Algérie, après Alger et Oran.

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    Histoire


    Bâtie sur un site grandiose, en altitude (649 m), sur un rocher dominant de profondes gorges au fond desquelles coule le Rhummel, Constantine fut le siège d'âpres batailles que durent livrer ses conquérants successifs.
    La ville a d'abord porté le nom de Sarim Batim pendant la période carthaginoise, puis celui de Cirta pendant la période numide. Elle était justement la capitale de Massinissa, Micipsa et Jugurtha, glorieux rois numides.
    Elle a été détruite par l'empereur Maxence puis rebâtie par l'empereur romain Constantin Ier qui lui a donné son nom actuel au IVe siècle.
    La période allant du VIIe au IXe siècle,
    est pour Constantine une période de quasi autonomie, ce qui n'empêche
    pas la ville de subir le contrecoup des invasions musulmanes, elle fut
    prise par Abou Moudjahid Dinar.
    Du Xe au XIIe siècle, Constantine passe aux mains de la Petite Kabylie et de Béjaïa, donc du Nord-Ouest.
    La période du XIIIe au XVe siècle place Constantine dans la mouvance de Tunis, sous la dynastie des Hafsides.
    A partir du XVIe siècle, Constantine passe sous domination turque. En 1568, les partisans des Hafsides massacrèrent les Turcs et expulsèrent leurs séides.
    Le pacha Mohammed dut, pour ramener l'ordre, conduire en personne une
    expédition contre Constantine. La ville n'osa pas résister et ouvrit
    ses portes sans combat. Les Abd el-Moumène, chefs du parti Hafside à Constantine, furent définitivement vaincus et les Ouled Saoula
    écartés. Sidi-Abd-el-Kerim arrivé au pouvoir nommé par les Turcs
    Emir-er-Rekeb. Abd-el-Kerim meurt en 1580. Constantine fut choisie au XVIe siècle pour être la capitale du Beylik de l'Est.
    Dernière grande ville d'Algérie à résister aux français, Constantine tombe le 13 octobre 1837. Des soldats français sous le commandement du lieutenant-colonel Lamoricière
    pénétrèrent à Constantine après deux jours de combats par un endroit
    qui fut ensuite baptisé "la Place de la Brèche" (en allusion à la
    brèche dans la défense de la ville). Le Bey Ahmed dû s'enfuir (il
    continua le combat dans les Aures jusqu'en 1848) et beaucoup de
    Constantinois préférèrent se jeter par dessus le ravin au lieu de
    tomber aux mains des assaillants.
    Le dernier conseil municipal de Constantine avant l'indépendance :
    La Délégation spéciale cédera la place à une municipalité élue au
    suffrage universel, ouverte aux hommes comme aux femmes, sans
    distinction, avec un collège unique le 27 avril 1959. Les trois listes
    soumises au verdict des urnes étaient une fois de plus fabriquées par
    l’administration et l’armée. Collot rapporte que les candidats
    musulmans de la région de Constantine s’étaient présentés sur ordre du
    FLN.
    La nouvelle municipalité se compose de 36 conseillers municipaux
    dont une femme la veuve Rebiha Chabi, et il comporte 9 membres
    européens.
    Hocine Allouache est élu maire par 34 voix sur 36 exprimées.
    Baptistin Lapica est élu premier adjoint suivi de Paul Bernard, Guy
    Auclair, Lahcène Allem, Abdelhamid Derrouiche, Mostefa Roudesli, Rebiha
    Chebi et Naceur Boudra.
    À l’automne 1960, trois membres de ce conseil municipal sont tués
    par le FLN. Il s’agit de Mohamed Ouamer, Mohamed Chérif Benachour et
    Mouloud Noui. Trois autres sont blessés : ce sont Mostefa Bendjelloul,
    Hadj Abd El Qader Khattabi et Hamou Benelbedjaoui.
    La dernière séance de ce conseil municipal se tint le 4 juin 1962.

    • Article détaillé : Cirta : la plus brillante cité de l’Algérie antique

    Géographie

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    Constantine se situe à 430 km à l'est de la capitale Alger, à 90 km au sud de Skikda et à 235 km au nord de Biskra.
    La ville s'étend sur un plateau rocheux à 649 mètres d'altitude.
    Elle est coupée des régions qui l'entourent par des gorges profondes où
    coule l'oued Rhummel,
    de tous côtés sauf à l'ouest. Le choix de cet emplacement est avant
    tout une stratégie de défense. Aux alentours, la région dotée de terres
    fertiles a fait de Constantine le grenier du pays à l'époque romaine.
    L'ouverture sur la mer est assurée par le port de Skikda (ex Philippeville), qui avec Constantine et Annaba (ex Bône) forment un triangle industriel important.
    La ville est proche de la région des Chaouis, c'est-à-dire des Berbères de l'Est algérien.
    Le climat de la région est continental, caractérisé par une chaleur de 25-45° en été et un froid de 0-12° en hiver.Géologie

    L'évolution géologique du site est assez extraordinaire. Au quaternaire,
    le Rocher de Constantine n'était pas détaché de celui de Sidi M'Cid, et
    à cet endroit les eaux d'un torrent coulaient vers le sud (à l'inverse
    du cours actuel). Plus tard le Rhumel, qui jusqu'alors passait à
    l'ouest du Rocher, vint buter sur la falaise. Les eaux creusèrent une
    galerie souterraine, et trouvèrent une issue vers le nord. Les voûtes
    s'écroulèrent donnant peu à peu l'aspect actuel. Le canyon fait 1800 m de long, profond de 135 m à son début, il atteint près de 200 m à Sidi M'Cid.


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    Sticky رد: قسنـــــــــــــــطينة Constantine

    مُساهمة من طرف ING_ADMIN الإثنين يناير 12, 2009 10:17 pm

    Culture


    Constantine est un centre culturel, architectural et industriel important et possède deux universités :

    • l'Université Mentouri de Constantine (UMC), dessinée par l'architecte brésilien Oscar Niemeyer,
      est l'une des plus grandes d'Algérie. Elle accueille depuis 1971 plus
      de 50 000 étudiants algériens et étrangers répartis sur les treize
      campus et entre les huit facultés et trente-cinq départements offrant
      environ 95 spécialités. Elle fut et reste la couveuse de plusieurs
      générations de cadres algériens ;
    • l'Université des Sciences Islamiques de Constantine est, quant à elle, la plus importante d'Algérie. Elle a été inaugurée en 1994,
      en même temps que la grande mosquée Emir Abdelkader qui est aussi un
      magnifique monument architectural, dont elle partage les bâtiments.
      Elle accueille environ 3 000 étudiants répartis dans deux facultés (Faculté de la Charia et de la civilisation islamique et Faculté de littérature et des sciences humaines).

    Monuments


    La vieille casbah conserve de très belles demeures des XVIe et XVIIe siècles. D'autres monuments comme la grande mosquée Emir Abdelkader ou le palais du Bey témoignent de la richesse architecturale de Constantine. Le musée de Cirta rassemble le patrimoine culturel de la ville.
    Aujourd'hui la ville se modernise : le building de 22 étages de
    l'Université, et l'élégante silhouette de l'Université des sciences
    islamiques "Émir Abd El Kader" en sont l'expression
    Voir aussi :

    • Le Musée Gustave Mercier,
    • Théâtre Régional de Constantine
    • Le monument aux morts: dédié aux enfants de la ville tombés pendant la guerre mondiale 1914-1918.

    La ville des ponts


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    مُساهمة من طرف ING_ADMIN الإثنين يناير 12, 2009 10:20 pm

    Personnalités de la ville


    es personnalités les plus connues nées à Constantine sont:

    • Massinissa, premier roi de la Numidie unifiée,

    (vers 240 avant J-C - vers 149 avant J-C). Vers la fin du troisième
    siècle av. J.C., apparaît un descendant de la dynastie massylienne (La
    Massylie est une partie de la Numidie : actuellement la partie
    orientale de l'Algérie et la partie occidentale de la Tunisie),
    Massinissa, fils de Gaia, roi dépossédé des terres de ses ancêtres par
    le Masaesyle Syphax. Pour récupérer cet héritage, Massinissa combat en
    Espagne en 206 av. J.C. aux côtés des Carthaginois, contre les Romains,
    alliés de Syphax. Sorti vainqueur du conflit (capture de Syphax en 203
    et bataille de Zama, à la frontière algéro-tunisienne, où est défait le
    Carthaginois Hannibal), Massinissa emploiera son long règne (203 à 148
    av. J.C., soit 56 ans) à agrandir son royaume avec la bienveillance de
    Rome, aux dépens de la Massésylie, à l'ouest, et de Carthage, à l'est.
    Massinissa un personnage vigoureux qui, sans pour autant dédaigner les
    fastes de son palais de Cirta (Constantine), chevauchait encore aux
    côtés de ses cavaliers, par tous les temps, alors qu'il était
    octogénaire, et laissa une nombreuse progéniture ; il organisa une
    puissante armée, mit en valeur le sol, noua des relations avec le monde
    méditerranéen (péninsule ibérique, Rome, Athènes, Rhodes, Délos) et
    frappa monnaie à la façon des monarques (hellénistiques). Il laisse
    encore le souvenir du premier souverain qui unifia la quasi-totalité de
    l'Afrique du Nord en un État organisé.

    • Fronton de Cirta(Marcus Cornelius Fronto) entre 90 et 100 - 175 Rhéteur latin originaire de Cirta

    Orateur réputé, précepteur de l'empeur Marc-Aurèle, sa
    correspondance avec cet empereur sera retrouvée et publiée. Fut consul
    en 143 sous Antonin le Pieux. Il a une réputation prodigieuse, il a
    réalisé exactement l'idéal littéraire de ses comtemporains ; et si nous
    trouvons, nous, dans ses œuvres, beaucoup d'affectation, de la
    prétention et du mauvais goût, nous ne devons pas oublier que ces
    défauts, pour les Romains du IIe siècle, étaient des qualités et que Fronton a été unanimement reconnu, de son vivant, comme un très grand artiste.

    • Constantin Ier Le Grand(Caius
      Flavius Valerius Aurelius Constantinus) entre 270 et 288 - 337
      Re-fondateur de Constantine Après la victoire des Romains sur les
      Numides vers 203 av. J.-C., Cirta devint une importante colonie
      romaine. En 310, elle fut mise à sac par l'armée de l'empereur Maxence,
      qui régna sur la moitié occidentale de l'Empire romain de 306 à 312.
      C'est l'empereur Constantin le Grand qui rebâtit la ville en 313 après
      J.-C. et lui donna son nom.


    • Salah Bey 1725 (Izmir en Turquie) - 1792 Bey de Constantine de 1771 à 1792

    Constantine fut choisie au XVIe siècle
    pour être la capitale du Beylik de l'Est. Le Bey était nommé par le
    pacha d'Alger qui pouvait le révoquer à volonté. Plus qu'aucun autre,
    Salah Bey fit vraiment figure de prince. S'appliquant à continuer
    l'œuvre entreprise par ses prédécesseurs, il voulut doter Constantine
    de constructions dignes d'un chef-lieu de grande province. En faisant
    raser de vieilles maisons, il réorganisa tout un quartier, celui de
    Sidi el-Kettani, voisin de la Kasbah. Il y fit édifier une belle
    mosquée à laquelle il adjoignit une medersa. Cette école étant devenue
    rapidement insuffisante, il en créa une seconde à Sidi Lakhdar. On lui
    doit aussi la reconstruction du pont d'El-Kantara dont le passage avait
    été interrompu pendant cinq siècles. La carrière de Salah Bey connut
    une fin dramatique ; Hassan Pacha, le Dey, le démit de ses fonctions,
    et, devant son refus d'obéir, le fit assassiner, en 1792.

    • Hadj Ahmed Bey vers 1784 - 1850

    Hadj Ahmed, dernier bey de Constantine, est l'une des grandes
    figures de la résistance au colonialisme. Après avoir occupé plusieurs
    postes de responsabilité, il devint gouverneur du Beylik de l'Est en
    1826, au temps du Dey Hussein. Le dernier bey de Constantine fit
    construire son palais de 1826 à 1835. Il eut recours à deux artistes
    réputés, El Hadj el-Djabri, originaire de la ville et le Kabyle
    El-Khettabi. Il livra et remporta sa première bataille à Constantine,
    en 1836, contre les troupes commandées par le maréchal Clauzel. Le 21
    novembre 1836, un corps de 8700 hommes arrive devant Constantine.
    L'armée française entreprit deux assauts par le pont, mais ils se
    brisèrent devant la porte d'EI Kantara. Battant en retraite, poursuivis
    par les Algériens, les soldats français abandonnèrent sur le terrain
    armes, bagages et blessés. En 1837, l'état-major français décida de
    mener une seconde expédition, qui fut confiée au général comte de
    Damrémont. Celui-ci disposait de 20400 hommes, dont 16000 combattants,
    d'une artillerie importante commandée par le général Valée et d'un
    corps de génie. Le 5 octobre, cette armée arriva à Constantine. Le 13
    octobre, après une forte résistance la ville finit par tomber entre les
    mains de l'ennemi, qui subit pourtant de lourdes pertes. Hadj Ahmed Bey
    n'abandonna pas pour autant la lutte, et, ayant réussi à sortir de la
    ville avec quelques cavaliers, il se rallia des tribus de la région et
    se dirigea vers les Aurès en passant par Biskra. Il incita les
    populations de la région à organiser la résistance pour paralyser les
    mouvements de l'envahisseur. Mais, de plus en plus isolé et affaibli,
    il se rendit en juin 1848. En résidence surveillée à Alger, il y mourut
    en 1850.
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    مُساهمة من طرف ING_ADMIN الإثنين يناير 12, 2009 10:22 pm


    • Alphonse Laveran18
      juin 1845 - 1922 Médecin, chercheur - Prix Nobel Après avoir fait ses
      études classiques au collège Sainte Barbe, puis au lycée Louis le
      Grand, le jeune Laveran intègre en 1863 l'école du Service de Santé
      Militaire de Strasbourg. Nommé interne des hôpitaux en 1866, il
      soutient en 1868 sa thèse de doctorat et rejoint aussitôt l'École
      d'Application du Val-de-Grâce. En 1878, son temps d'agrégation terminé,
      Laveran est affecté aux hôpitaux de la division de Constantine, et
      successivement à ceux de Bône, Biskra et Constantine, où il est promu
      en 1879, médecin major de 1" classe. C'est à Constantine, en 1880, que
      Laveran décrit dans le sang d'un soldat paludéen, des corps sphériques
      pigmentés identifiés à l'hématozoaire du paludisme, découverte
      fondamentale aussitôt rapportée à l'Académie de Médecine et à
      l'Académie des Sciences. C'est en 1907, que l'institut royal Carolin de
      Stockholm décerne à Alphonse Laveran le prix Nobel de physiologie et de
      médecine pour l'ensemble de ses travaux sur le rôle des protozoaires
      comme agents infectieux. Il a laissé son nom au lycée des filles de
      Constantine


    • Abdelhamid Ben Badis,

    1889 - 1940 Né en 1889 à Constantine, Abdelhamid Ben Badis fait ses
    études à la Zitouna de Tunis. Prédicateur et formateur à la mosquée
    "Djamaâ Lakhdar" qu'il ouvre en 1911, il se rend en pèlerinage en 1914
    à la Mecque. Il participe activement au mouvement de l'Islah musulman
    et publie dès 1925 Al Mountaqid, journal critique dans lequel il amorce
    un travail profond de prise de conscience nationale. Après
    l'interdiction de cet organe, il lance la même année "Achihab" (le
    météore) puis "El-Bassaïr" (visions d'avenir) où il contribue à faire
    renforcer dans les plus larges masses les concepts du nationalisme, de
    l'arabisme et de la fidélité a l'Islam, les trois piliers de la
    personnalité algérienne. Fondateur de l'Association des Oulémas
    d’Algérie, il participe au Congrès musulman d'Alger en juin 1936 et
    déploie une activité constamment entravée par l'administration
    coloniale. Il meurt en 1940, laissant derrière lui une œuvre politique
    et culturelle qui a nourri l'esprit de plusieurs générations
    d’Algériens de son fameux triptyque : "l’Algérie est notre patrie,
    l'Islam est notre religion, l'Arabe, est notre langue." Promoteur du
    savoir, il est le 16 avril de chaque année, honoré au cours de
    "Youm-El-Ilm" (Journée de la science.)

    • Hervé HANNOUN Né le 3 août 1950 à Constantine Inspecteur général des finances

    Diplômé de l´Institut d´études politiques de Paris. Elève à l´École
    nationale d´administration (Ena) (promotion Léon Blum, 1973-75), à
    l´Inspection générale des finances (1975-79), Inspecteur des finances,
    Chargé de mission à la direction du Budget (1979-81), Chargé de mission
    puis Conseiller technique au cabinet du premier ministre (1981-84),
    Conseiller technique au secrétariat général de la présidence de la
    République puis Chargé de mission auprès du président de la république
    (1984-88), Sous-directeur au ministère de l´Économie, des Finances et
    du Budget, Directeur de cabinet (1989-92) de Pierre Bérégovoy (ministre
    d´État, ministre de l´Économie, des Finances et du Budget puis Premier
    Ministre), Second sous-gouverneur (1992-99), Premier sous-gouverneur
    (depuis 2000) de la Banque de France, Inspecteur général des finances,
    Président du comité des relations internationales du système européen
    des banques centrales, Membre du conseil de la politique monétaire, du
    conseil général de la Banque de France et du conseil d'administration
    de la Banque des règlements internationaux.

    • la princesse Charlotte de Monaco, mère de Rainier III de Monaco, naquit dans cette ville en 1898,
    • Fodil El Ouartilani et Malek Bennabi, penseurs musulmans,
    • Hassiba Boulmerka, Athlète, championne du monde(1991,1995) et championne olympique (1992) du 1500 mètres.
    • Alfred Nakache, champion du monde de natation,
    • Malek Haddad et Kateb Yacine, écrivains,
    • Cheikh Raymond (chanteur et chef d'orchestre). Ce dernier mourut assassiné sur un marché, un peu avant l'indépendance en 1961,
    • El Hadj Mohamed Tahar Fergani, chanteur et chef d'orchestre de musique arabo-andalouse,
    • Sidi Nemdil, Algerien Turk, Islamic et nationaliste, de la famille nemdil
    • Françoise Arnoul, actrice,
    • Claude Cohen-Tannoudji, Prix Nobel de physique,
    • Alphonse Halimi, boxeur, champion du monde des coqs,
    • Enrico Macias et Daniel Lévi, chanteurs,
    • Guy Allouche [archive], sénateur honoraire du Nord, ancien vice-président du Sénat
    • Benjamin Stora, historien,
    • Abdelkader Chanderli, représentant permanent du FLN auprès de l'ONU
    • Paul Amar, journaliste,
    • Smaïn, acteur,
    • Akim Tafer, boxeur,
    • Jean-Michel Atlan, artiste peintre
    • Abdelhak Benhamouda, ancien secrétaire général de l'UGTA, syndicat des travailleurs,
    • Ahlam Mosteghanemi, Ahlem est un écrivain
    • Jean-Claude Elkaim, entrepreneur au Brésil
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    نائب المدير العام
    نائب المدير العام


    Sticky رد: قسنـــــــــــــــطينة Constantine

    مُساهمة من طرف ArchiTuto الخميس يناير 22, 2009 6:35 pm

    merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii pour tt mon frere

      الوقت/التاريخ الآن هو الإثنين أبريل 29, 2024 12:53 pm